Skype 2

Ma correspondante m’a dit que l’indépendance des jeunes—en particulier, les uns qui peuvent conduire, donc qui a au moins dix-huit ans—cause de l’hostilité chez les adultes. Techniquement, quand on a dix-huit ans, on est un « adulte » selon le gouvernement. Mais, il y a des préjugés que les adultes placent sur les jeunes quand même. Par exemple, ma partenaire a parlé d’une loi qui réduirait la limite sur l’alcool dans le sang pour les jeunes qui ont environ dix-huit ans, mais pas pour les adultes. La société en général, elle a dit, n’a pas de la confiance en les jeunes. De plus, à cause de ce manque de confiance, les adultes français ne respecte pas les jeunes—ils pensent que les gens sont tous naïfs et incapables. Cela cause encore une strate au problème—les jeunes n’ont pas de la confiance pour les adultes. Il y a en plus un sentiment que les jeunes sont des rebelles et on doit gagner leur respect en créant des règles strictes. Plus de jeunes sont au chômage qu’adultes. À cause de ce climat, plus de jeunes sont au chômage qu’adultes, même s’ils ont un diplôme haut. En général, on a l’impression que les patrons ne veulent pas les embaucher à cause de leur manque de confiance en eux. Elle a dit, quand même, que c’est une question de l’expérience et elle elle-même peut-être pensera que les jeunes sont des « rebelles » quand elle est plus âgée. Bien sûr, c’est un problème immense avec plusieurs nuances et strates et on ne peut pas vraiment le voir clairement—on est toujours partiel à sa propre génération.